L’argent à table, une longue tradition

L’âge d’or de l’argent commence avec la découverte de nombreuses mines d’Amérique après 1492. La démocratisation de l’argenterie domestique arrive en France au XVIIe. D’abord valorisé par le clergé et la noblesse, le goût pour l’argenterie atteint finalement l’aristocratie et la haute bourgeoisie. La mode comprenait des ustensiles communs comme la vaisselle, les couverts et les objets de décoration. Puis, l’ère industrielle introduit les ménagères en argent dans de nombreux foyers bourgeois.

L’argent jouait un rôle politique. Hier comme aujourd’hui, l’argent est un métal précieux. La possession de pièces d’argenterie était signe d’opulence et de puissances pour les familles nobles. Elles n’hésitaient d’ailleurs pas à y graver leurs armoiries et à les exposer dans des argentiers imposants. De leur côté, les orfèvres rivalisent de talent et de créativité pour concevoir les plus belles pièces.

Mais l’argent jouait également un rôle financier. En effet, commander de l’argenterie était une excellente façon de placer sa fortune. Sur le long terme, l’argent conserve sa valeur, à l’instar de l’or. Les couteaux, fourchettes, cuillers et coupes en argent pouvaient ainsi être fondus durant les mauvais jours. Son importance est telle, que l’argenterie prenait une grande place dans les inventaires, les héritages et les successions.

C’est ainsi que l’argent intégra la vie domestique des plus fortunées, faisant de son usage un signe de raffinement.

Une question de prestige

Forte de cette longue tradition, les couverts en argent assoient un certain prestige pour un établissement. La noblesse du matériau, combinée à l’imaginaire d’un certain art de vivre, apporte beaucoup de sophistication à une table. Le restaurant gagne en crédibilité et laisse présager un art de la table digne des établissements étoilés. L’éclat incomparable du couvert en argent massif fait tout de suite bonne impression. Les couverts en argent offrent donc une expérience parallèle à l’aventure gustative d’une bonne cuisine.

Des couverts en argent impeccables envoient également un signal fort sur l’investissement et la rigueur d’un établissement. Ce n’est plus un secret que l’argent se patine avec le temps. Les couverts deviennent plus ternes et les taches apparaissent. Dans le pire des cas, un arrière-goût métallique se développe à chaque bouchée. Seul un entretien régulier de la part du restaurateur arrive à endiguer ce phénomène inéluctable.

Certains établissements poussent d’ailleurs la fantaisie jusqu’à commander des pièces d’argenterie personnelles. Loin de se contenter d’un modèle signé Christofle, leur ménagère exclusive est pensée de manière à épouser l’architecture, l’ambiance et l’identité de leur restaurant.

Symbole de l’art de la table à la française, les couverts en argent pourraient ne plus être la chasse gardée des tables prestigieuses et des grandes occasions. Depuis 2019, un marché de l’argent dynamique commence à désacraliser ce métal pour l’intégrer à un quotidien plus décontracté. La fascination pour le vintage remet l’argenterie familiale au goût du jour, tout en galvanisant le marché de la seconde main.

Des types de couverts en argent

Il existe des dizaines de couverts et tous peuvent être en argent, qu’on ait affaire à un repas plutôt simple ou à un menu en 7 services. Il y a trois couverts de base, avec leur déclinaison :

• Le couteau

Il sert à découper les aliments. Le couteau de table typique a une lame légèrement dentelée et le bout émoussé. En fonction des besoins, le service peut inclure un couteau à fromage, un couteau à poisson ou un couteau à dessert.

• La fourchette

Relativement récente, la fourchette sert à apporter les aliments à la bouche. La fourchette de base possède 4 dents, mais leur nombre, la forme de l’ustensile et sa forme s’adaptent à des mets variés : fourchette à poisson (plate, large, 3 dents), fourchette à gâteaux (petite, 3 dents), fourchette à escargots (petite, 2 dents).

• La cuillère

Tout comme la fourchette, elle permet d’amener les aliments à sa bouche. La cuillère de table typique est la cuillère à soupe. Elle est utilisée pour les veloutés, les consommés, les potages et les soupes. Un service de base comporte une cuillère de table et une cuillère à dessert. Toutefois, peuvent venir s’y ajouter la cuillère à tiramisu (bout plat), la cuillère à glace (minuscule spatule) ou la cuillère à sucre (perforée). La cuillère à œuf ne peut être en argent. À l’opposé, la cuillère à caviar ne peut être fabriquée dans un métal autre que l’or et l’argent.

Selon la sophistication du menu s’ajoutent les couverts de service, comme la cuillère à sauce, la louche, la pelle et la pince.

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Les enjeux de la gestion des finances

Le quotidien du restaurateur est tout sauf une partie de plaisir. En plus d’assurer la qualité des plats à servir, il doit également affronter les enjeux majeurs de la gestion des finances :

• Savoir anticiper les besoins en trésorerie du restaurant
• Avoir une idée sur l’état des finances en vue d’estimer sa capacité d’investissement
• Être capable de surmonter les éventuels problèmes de trésorerie (baisse de commande, crise économique, etc.)

Quoi qu’il en soit, il va falloir miser sur une maîtrise complète des coûts. Afin d’y parvenir, le mieux est de dresser un budget prévisionnel ou plan de trésorerie. Cet outil permet d’anticiper toutes les recettes et dépenses à court terme en fonction d’une base financière précise.

Savoir gérer les flux de trésorerie

Le secret d’un restaurant qui cartonne, c’est l’analyse de rentabilité, une opération à effectuer quotidiennement. Dans cette optique, le gérant a pour mission d’évaluer la vente de plats et de boissons. Il doit également comptabiliser toutes ses charges (impôts, loyers, masse salariale, commandes de nourriture, etc.).
Ici, l’idée est d’élaborer un historique des affaires. Avec ce document, le suivi des tendances de vente, des coûts salariaux et du nombre de clients devient plus fluide.

Les entrées de fonds sont à maîtriser si l’on souhaite éviter toute forme de crise. Le crédit de trésorerie est la solution la plus courante. Cette offre bancaire permet à toute entreprise de combler les manques à gagner ou encore de prévoir une éventuelle baisse de la demande. Côté fournisseur, il est important de fixer le bon intervalle de temps pour le paiement des factures.

Contrôler le placement des excédents de trésorerie

Comparé à d’autres structures, un restaurant génère un flux de trésorerie nettement instable. Bien que les charges soient plus ou moins fixes, les recettes varient remarquablement d’un jour à un autre. Des fois, les comptes peuvent afficher des excédents de trésorerie. Ce dernier témoigne la bonne marche des affaires. Néanmoins, c’est un actif à sécuriser sous forme de placement.

Les placements financiers se présentent sous différents faciès. On a les actions, l’immobilier, le financement participatif, le capital investissement et bien plus encore. Mais quelle est la valeur la plus sûre ? La réponse dépend de l’interaction tracée par votre restaurant. Les économistes avancent de placer le surplus de trésorerie dans la valeur refuge qu’est l’or. Même en cas de crise, l’or ne se dévalorise jamais.

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L’or : le privilège culinaire de la bourgeoisie et de la royauté

Les cuisiniers de l’Égypte ancienne pétrissaient déjà les pains des pharaons avec de la poudre d’or. Cet ingrédient luxueux et insolite a également régalé les membres de la Rome impériale.

L’Europe n’a pas échappé à cette fièvre de l’or alimentaire. Un mariage royal a notamment fait couler de l’encre. Pendant la fête qui a suivi l’union de l’héritier du trône d’Angleterre, les invités ont été ébahis par une cinquantaine de plats décorés d’or.

À Vienne, en 1521, les huîtres ont reçu leur part d’or avant d’être dégustées. Puis ce sont les faisans qui ont eu droit à cet honneur 70 ans plus tard.

Aujourd’hui, ce produit devient plus accessible, mais reste un ingrédient qui ne se trouve pas dans les coins de rue.

L’importance de l’or dans les plats

En termes de goût, l’or n’apporte rien. En effet, il est insipide. Les spécialistes l’apprécient uniquement pour sa qualité esthétique et la notion de luxe qui y est rattachée.

Certains médecins du siècle dernier lui ont conféré des vertus thérapeutiques. Cependant, le progrès scientifique a démontré que ce produit n’a aucun effet sur l’organisme humain. Son caractère non allergène la rend comestible pour tous sans exception.

Pour mieux le travailler, l’or prend diverses formes. La feuille exige énormément de délicatesse à cause de sa grande friabilité. Elle sert à couvrir les macarons par exemple. Les chefs apprécient également la poudre d’or qui confère de la brillance au plat. Les flocons, par contre, apportent une touche de magie.

Quelques plats contenant de l’or alimentaire

Dubaï est célèbre pour sa démesure, son extravagance. On y retrouve de nombreuses denrées alimentaires agrémentées d’or. Une entreprise a même lancé une gamme de champagne sans alcool, mais avec de l’or. Dans cette ville, même le mets le plus populaire devient un plat à part grâce à l’or. En effet, un restaurant sert du Byriani décoré de feuilles d’or dans une assiette en or.

L’or arrive sans peine à rendre un fast-food royal. La pizza 24k d’un restaurant new-yorkais, outre les feuilles d’or 24 carats, contient du caviar, des truffes et du foie gras. Le burger n’y échappe pas non plus. Devenu le « Glamburger », ce casse-croûte gagne des titres de noblesse. À Londres, il est parsemé de flocons d’or et garni de bœuf, de cerf, de caviar russe et saupoudré de safran iranien.

En guise de dessert, découvrons un bijou culinaire venu tout droit de Hong Kong : la crème glacée revêtue d’une couche d’or.

Pour se payer des bonbons d’or, rendez-vous dans le Gujarat, en Inde. Une boutique y est spécialisée en confiserie traditionnelle à base d’or pur.

Pour clôturer en beauté cette somptueuse liste, rien de mieux qu’un bon cappuccino avec de la poudre d’or. Les curieux peuvent siroter ce café à Abu Dhabi.

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Le concept

« Gastronomique » est très relatif. Tout établissement se construit sur un concept qui le démarquera des autres. Ce sera sa signature.

Est-ce qu’il proposera de faire revivre les recettes de nos grands-mères, avec produits du terroir ? Est-ce qu’il mettra plutôt à l’honneur la cuisine méditerranéenne ? La cuisine moléculaire ? La cuisine végétarienne ?

De ceci dépendra d’autres considérations comme la mise en place ou non d’une œnothèque, qu’on pourra, par exemple, remplacer par un vaste choix de thé. Qui sait ?

Le business plan

Un restaurant est une entreprise comme une autre. Pour se lancer, il faut connaitre le marché. Il faut aussi réussir à détailler tout ce qui a trait à la gestion du futur établissement. Cette étape va permettre d’évaluer la viabilité du projet. Elle donne également une idée de l’investissement financier nécessaire, qui est loin d’être non négligeable.

Le local

En plus de devoir être facile à aménager, l’emplacement d’un restaurant est stratégique. Il dépend du concept, des objectifs commerciaux et du genre de clientèle qu’on souhaite attirer. Un restaurant gastronomique classique nécessitera un local autrement différent d’un bistrot qui vise des employés en pause-déjeuner.

Avec ces critères en tête, on choisira, par exemple, un endroit proche de tellle ou telle autre commodité. C’est d’autant mieux si elle possède une plus-value comme un quartier historique, le centre-ville, les bords d’un lac, etc.

Le personnel

Le choix du chef cuisinier est une évidence. Mais le reste de l’équipe doit suivre le même raisonnement.

En effet, un restaurant gastronomique ne propose pas seulement de l’excellente cuisine. C’est aussi une question de décorum, mais surtout de service irréprochable. Il faut donc s’entourer du meilleur personnel possible. L’idéal serait qu’il soit professionnel, du serveur au caviste en passant par le préposé aux réservations, afin d’assurer un service affable.

La prestation

La connaissance de sa future clientèle (et du marché) permettra de mettre en place le meilleur parcours client possible. Le système de réservation, les méthodes de paiement, l’option de livraison… et tout ce qui touche à l’organisation doivent être pensés de manière à assurer une expérience client optimale.

La réputation

Une fois ouvert, il faut maintenant asseoir l’image du restaurant. Si les autres possèdent leur aura actuelle, c’est à la force des années et de la communication déployée tout du long. Ainsi, un nouveau restaurant doit impérativement agir pour construire sa renommée. Inviter des critiques gastronomiques, des personnalités, pourquoi pas ?

La réputation de beaucoup d’établissements gravite, par exemple, sur la notoriété et le talent de leur chef ou sur une spécialité culinaire originale. Par ailleurs, internet regorge d’infinies possibilités pour promouvoir son restaurant.
Et l’étoile ? Elle viendra avec le temps. Pour décrocher une première étoile Michelin, notamment, il faut avoir été capable de maintenir du haut standing durant au moins 18 mois.

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French Cuisine de Sherriff Gaming

Ce n’était qu’une question de temps avant que les fournisseurs de jeux s’approprient le thème de la cuisine française. Elle a tellement gagné en notoriété qu’il était prévisible qu’une machine à sous porte un jour ou l’autre sa signature.

« French Cuisine », le titre de cette création de Sherriff Gaming est on ne peut plus clair. Inspirée de la gastronomie française, cette slot vidéo rappelle curieusement le film « Ratatouille ». Vous savez, ce dessin animé qui clame haut et fort que tout le monde peut cuisiner. Même un rat. En plus, l’intrigue se déroule en plein cœur d’un restaurant parisien. Tout comme French Cuisine et ses 5 rouleaux.

En vérité, cette slot en ligne est l’un des premiers opus de Sherriff Gaming. Empreinte d’humour, elle a rapidement conquis les connaisseurs avec ses graphismes enchanteurs. D’autant plus qu’elle propose près de 20 manières de décrocher des prix.

De son côté, le serveur est porteur de grosse récompense quand on l’utilise à bon escient. D’autres symboles complètent également le tableau : du jambon, de la vaisselle sale, une cloche alimentaire, une souricière avec du fromage, une caisse enregistreuse, la devanture du restaurant, etc. Bien sûr, le chef cuisinier fait aussi partie de ce beau monde même si son icône ne paie pas beaucoup.

La Petite Pâtisserie de Paf

Pour sa part, Paf a choisi de garder la langue française telle quelle pour sa machine à sous « La Petite Pâtisserie ». Pourquoi s’embêter à traduire le titre en anglais quand on sait que le thème concerne l’art culinaire français. Et ce fournisseur a bien raison, car, de cette manière, la slot dégage un certain cachet.

Il a ensuite ajouté un zeste de design bien soigné et un soupçon de bande sonore entrainante. Quelquefois, une souris pointe également le bout de son museau dans le décor en guise d’animation. Il ne manque plus que les délices sucrés et La Petite Pâtisserie est prête à ouvrir boutique. En effet, de grands classiques de la pâtisserie française honorent l’opus de leur présence.

Dans cette optique, Paf met en avant 11 symboles différents. Parmi eux, une part de tarte aux fraises, une religieuse et un merveilleux fondant au chocolat. Des desserts typiques de France à en donner l’eau à la bouche. Sans oublier le délicieux croissant spécialement concocté par la jeune femme en tablier blanc.

À l’évidence, les gains potentiels sur cette machine à sous sont aussi savoureux que ses icônes. Visiblement, les chances de remporter gros sur ce divertissement sont énormes. Plus les joueurs parient dessus, plus le montant de la cagnotte intégrée augmente. Autrement dit, La Petite Pâtisserie est dotée d’un jackpot progressif qui peut tomber à tout moment.

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Eiffel Tower Restaurant

Avec vue panoramique sur le Strip, le boulevard où se situent les plus iconiques casinos de Las Vegas, l’Eiffel Tower Restaurant se targue d’offrir une « cuisine française classique réactualisée ». En des termes plus clairs, les grands classiques français avec une touche US. Le restaurant est particulièrement fier de mettre en avant le terroir américain. Homard du Maine, steak du Midwest, agneau du Colorado…

La signature de l’établissement, c’est son filet de bœuf façon Wellington. Une spécialité très anglaise au milieu d’une formule gastronomique qui recèle du foie gras poêlé, des escargots à la bourguignonne, de la soupe à l’oignon, de la sauce aux truffes et des coquilles Saint-Jacques. Le vin, pour sa part, se commande au verre.

Aux fourneaux, Jean Soho, alsacien d’origine, à la tête d’un petit empire culinaire aux États-Unis. L’Eiffel Tower Restaurant est sa dernière création en date. Il a parfaitement su faire vivre le charme à la française dans le cadre démesuré du Paris Las Vegas Hotel & Casino. Depuis le 11è étage, le restaurant offre une vue inégalée sur les fontaines du Bellagio. Merci à un design vintage et lumineux, sublimé par de grandes baies vitrées.

Bardot Brasserie

Retour dans l’atmosphère des cafés parisiens de l’ancien temps chez Bardot Brasserie. L’établissement, signé Michael Mina, marie les exigences du gastronomique et le charme désuet du bistrot de quartier.

Sa carte offre une sélection de hors-d’œuvre, d’entrées, de charcuterie et fromages, mais aussi de la soupe et de la salade, allant de la bouillabaisse au boudin blanc en passant par la tarte flambée et le steak house à la Jean-Georges Vongerichten.

Son œnothèque est particulièrement bien garnie. Sa carte des vins promet non seulement un tour gustatif à travers la France, mais également à travers les arômes des crus américains, portugais, allemands ou italiens. Au verre ou à la bouteille, on pourra donner sa préférence à un Châteauneuf-du-Pape ou à un Sancerre blanc.

Animé du pur esprit des brasseries typiques du Paris des 1900, le Bardot Brasserie a trouvé ses quartiers à l’Aria.

Twist by Pierre Gagnaire

Pierre Gagnaire a emmené à Las Vegas une cuisine française moderne, flirtant avec les codes de la cuisine américaine. Ainsi, le Surf And Turf côtoie le foie gras, le saumon poché au Chablis ou le wagyu japonais. Tout en sélectionnant des produits saisonniers, cette table de Gagnaire a su mettre en valeur le terroir américain : cochon sauvage du Texas, homard du Maine…

Plusieurs fois acclamé, Twist by Pierre Gagnaire a aussi été applaudi par son grand choix de plats vegan. Son endive braisée et son velouté de choux-fleurs n’ont laissé personne indifférent.

La salle épurée, en transparence et en globes lumineux, est dominée par une mezzanine où se déroulent les dégustations de vin.

Surplombant le Strip depuis le 23e étage du Waldorf Astoria (ex-Mandarin Oriental), Twist by Pierre Gagnaire était le seul établissement de ce chef étoilé aux États-Unis. Ouvert en 2009, il a fermé depuis.

Bref, même au milieu des machines à sous et des tables de jeu, les gourmets pourront toujours jouir d’un petit goût de la France, à travers son art inimitable : la cuisine.

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Le Baccara d’Évian Resort

Au cœur d’Evian-les-Bains, un joli casino déploie ses offres alléchantes, et surtout ses plats gastronomiques. Le restaurant « Le Baccara » de ce complexe hôtelier propose un délicieux menu. La brigade du chef utilise des produits frais, présentés avec élégance et gourmandise.

Le restaurant prend ses quartiers près des jeux de table. De ce fait, il jouit d’une ambiance à la fois cosy et ludique. Il est ouvert du lundi au dimanche en soirée.

Notez que le Baccara accepte les chiens en terrasse.

Le casino Grand Cercle

Situé à Aix-les-Bains, cet établissement a vu les choses en grand. Le Carré d’As peut régaler les joueurs tant pour le déjeuner que pour le dîner. Lumineux et chaleureux, ce restaurant convient pour combler les fringales entre les parties ou pour les sorties familiales.

Ce restaurant de type brasserie contribue grandement au développement de l’économie locale. En effet, l’équipe en cuisine se fournit exclusivement dans les marchés locaux.

Le chef Grégory Cagnon sert une cuisine variée, copieuse et savoureuse. Dans la carte, amuse-bouches, entrées, pâtes, desserts et diverses boissons raviront vos palais.

Le Cercle du Casino Barrière Deauville

Une profusion de rouge apporte un certain dynamisme au salon Empire du casino Barrière Deauville. Ce groupe familial est connu pour sublimer le divertissement à la française. Son établissement de Deauville se distingue particulièrement par son restaurant.

Avec le chef Jérôme Taquet aux commandes, les repas promettent d’être sensationnels. Le Cercle possède un menu hétéroclite. Il fait plaisir à ceux qui veulent juste manger sur le pouce ou ceux qui souhaitent vivre un grand moment gastronomique. De plus, vous avez une vue imprenable sur la salle de jeux.

Le Salon Rose du casino de Monte-Carlo

Le Salon Rose, le restaurant de ce prestigieux casino, offre un pur moment de détente. L’attente se fera dans des chaises confortables. Il suffit de sortir sur la terrasse pour profiter de l’air pur de la mer Méditerranée. Les fenêtres très hautes permettent également de savourer cette fraîcheur tout en restant dans le restaurant.

Le chef Saez-Manzanares s’active aux fourneaux pour sublimer de délicieux produits du terroir et d’ailleurs. Ce maestro de la cuisine jongle avec brio entre les plats de poisson et les pâtes à l’italienne.

Les Hauts de Lille

Les Hauts de Lille de ce casino Barrière prévoient d’emmener les visiteurs au 7ème ciel. Pour ce faire, il s’est armé d’un chef audacieux et passionné : Anthony Pichon.

Avec son équipe, il prépare des menus variés, qui changent au gré des saisons. En effet, il utilise uniquement des produits frais pour créer des mets exceptionnels.

Les soirées des jeudis, vendredis et samedis promettent alors d’être magiques. Le tout dans un décor neutre et élégant qui apaise l’esprit.

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L’évènement est à son comble

Le casino JOA des Sables d’Olonne Les Pins a sifflé le coup d’envoi pour la fête de la gastronomie. Des réjouissances sans précédent qui se déroulent dans l’enceinte même de l’établissement. Placées sous le signe de la gourmandise, les festivités ont démarré en fanfare le lundi 26 septembre. Bien entendu, la fête se poursuivra jusqu’au dimanche 9 octobre.

Durant ce laps de temps, le casino organise un tirage au sort tous les jours à 17h. Ainsi, quelques heureux élus ont déjà rapporté leurs paniers garnis chez eux. Dont un dénommé Michel, qui a gagné un panier gourmand « Jambon etc. ». Pour cela, il s’est inscrit sur la borne Club en salle de jeux, comme tous les autres participants.

D’ailleurs, ceux qui sont tirés au sort à 17h tapante peuvent prétendre à différents coffrets cadeaux. Notamment des vins du « Marché aux Vins », des chocolats « Gelencser » ou un coffret « Signorini Tartufi Sables d’Olonne ». Que des grandes marques locales.

De toute évidence, l’enjeu est de taille durant le weekend. Chaque samedi à 18h30 et minuit, ainsi que le dimanche à 18h30, les récompenses sont propulsées à un tout autre niveau. À savoir, des repas gastronomiques (au restaurant la Chabotterie, L’Abissiou ou le Cayola), de plus gros paniers gourmands et des tickets de jeu de 100€.

À noter que les prétendants doivent impérativement être présents lors des tirages du weekend. En revanche, ce n’est pas le cas en ce qui concerne le tirage quotidien de 17h.

Gros plan sur le Casino JOA Les Pins

Quant aux joueurs qui n’ont pas réussi à décrocher des prix, ils peuvent toujours se consoler au restaurant sur place. Manifestement, le chef cuisinier y prépare des mets raffinés, au plus grand plaisir des fins gourmets. Les clients de l’établissement s’y restaurent souvent entre 2 sessions de jeux.

En parlant de jeux, le casino JOA Les Pins en propose toute une panoplie. Près de 150 machines à sous sont à la portée des amateurs de jeux d’argent. Pour la modique somme de 0,01€, on peut lancer une partie sur l’un de ces postes.

Pas de jaloux, il y en a pour tous les goûts. En particulier, les adeptes de jeux de table classiques. De ce côté-là, l’institution a clairement de quoi choyer ses visiteurs avec des tables de blackjack, d’ultimate poker, de roulette anglaise et de boule. Cependant, seuls le blackjack et la roulette anglaise se déclinent en version électronique.

On ne peut qu’apprécier les moments de détente au casino JOA Les Pins étant donné la diversité de ses offres. En plus, l’établissement se dresse dans un cadre sympathique et garantit une ambiance plutôt conviviale.

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Un parcours sans fausse note

Jean-François Piège naît le 25 décembre 1970 et découvre très tôt sa passion pour la cuisine. À 14 ans, il entre déjà à Tain-L’Hermitage, dans une école hôtelière. Il en sort major de promotion et 1 an après, intègre l’équipe d’un autre chef renommé : Bruno Cirino. Plus tard, il travaille en tant que chef de partie à l’hôtel de Crillon. Ses compétences lui permettent de rencontrer plusieurs chefs reconnus comme Yves Camdeborde, Éric Frechon ou encore Alain Ducasse. Il va même collaborer avec ce dernier pendant 12 ans. Il devient chef de cuisine pour la 1ère fois en 1997. La suite de sa carrière n’est qu’une succession de passages remarqués et de reconnaissance de la part du secteur. Et il n’aura de cesse que de se hisser au sommet de la gastronomie française.

Ce grand chef doit son sens du détail et de la précision à sa mère. Cette dernière lui inculque le goût du travail bien fait dès son plus jeune âge. Le patriarche de la famille décède alors que le petit Jean-François n’a que 6 ans mais le futur grand chef ne laisse pas l’absence d’un père devenir un obstacle à l’aboutissement de ses rêves. Il se révèle être un travailleur émérite et perfectionniste, doublé d’un grand créatif.

Des succès retentissants

Le talent de Jean-François Piège a été récompensé de nombreuses fois au fil des années. Il a été sacré « chef de l’année » 4 fois, en 2005, en 2007, en 2011 et en 2016. En 2014, il est nommé « créateur de l’année ». L’année suivante : 2015, Jean-François Piège reçoit le titre de « Homme de l’année ».

Ses plus grandes réalisations restent ses établissements. Ces restaurants lui ont, par ailleurs, permis de remporter plusieurs prix prestigieux. En 2010, la Brasserie Thoumieux remporte le prix « Lillet / Lebey de l’Innovation ». L’année suivante, l’Hôtel Thoumieux gagne le prix « Omnivore Maison ». Le Restaurant Jean-François Piège obtient également ses 2 étoiles Michelin en 2011. Tous les établissements créés par Piège possèdent des titres de reconnaissance. La dernière récompense date de 2019, l’année à laquelle le chef décroche le prix de la Paulée de Printemps.

Si on regrette quelquefois ses passages devenus trop rares à Top chef où il se montrait toujours intransigeant. On a pu le retrouver dans le meilleur pâtissier.

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Pour un casino de Vegas ou de Macao digne de ce nom, il faut être capable de proposer des services adaptés à tout budget et pour la crème de la crème, il faut aussi pouvoir dérouler des trésors de finesse et de gastronomie. Quoi de mieux alors que la signature de grandes cuisines parmi les plus prestigieuses au niveau international, la française, la japonaise, l’italienne, …, les cuisines fusion et créatives ? Entre deux sessions, les joueurs les plus exigeants peuvent découvrir les mets raffinés concoctés par de grands chefs de renom. Les chefs français ne sont pas en reste et depuis quelques décennies déjà, ils sont invités à investir leur talent dans les plus beaux casinos. Retour sur trois grandes maisons et restaurants gastronomiques au cœur d’établissements de jeux. Contrairement aux casinos en ligne, les établissements « physiques » ont l’avantage de proposer un certains nombres de divertissements et de distractions en dehors des jeux. Les grands restaurants sont un endroit idéal où dépenser les gains gagnés sur place!

Joël Robuchon au MGM Grand Casino

De son vivant, l’illustre Joël Robuchon, chef le plus étoilé au monde, a ouvert le Restaurant Joël Robuchon au sein du casino de prestige MGM Grand de Las Vegas. Le long du Strip, les amateurs de plats gastronomiques savourent les créations du chef Robuchon dans ce bel établissement. Rien n’est laissé au hasard ici. Le cadre est superbement décoré dans un style Art déco avec des toiles de lin aux couleurs fascinantes. Consécration ultime du grand Monsieur Robuchon, ce restaurant est le seul à détenir 3 étoiles du guide Michelin aux États-Unis.

Actuellement, le successeur du grand chef Joël Robuchon prépare de façon extraordinaire les signatures de ce maitre de l’art culinaire. Parmi les spécialités de la maison, on trouve le fameux caviar impérial avec sa gelée de crustacé et sa purée de chou-fleur. Petite anecdote, le célèbre David Copperfield a appelé le chef Robuchon : le véritable Magicien. Sur place au MGM, on trouve aussi le restaurant un peu plus informel et décontracté, mais de très grande qualité : L’Atelier de Joël Robuchon.

Guy Savoy au Caesars Palace

Dans un design sobre et chic, le Restaurant Guy Savoy de Las Vegas profite également de sa place au soleil sur le Strip. Les fins gourmets peuvent dont profiter d’une vue imprenable sur cette célèbre artère de Las Vegas tout en dégustant la cuisine du grand chef français. Au fil du temps, cet établissement du Caesars Palace a été reconnu comme comptant parmi les meilleurs restaurants de Las Vegas, sinon « Le meilleur » avec ses 2 étoiles Michelin. Le talentueux Guy Savoy y sert des repas raffinés inspirés de l’élégante cuisine française. Ainsi, les joueurs jouissent d’une expérience gastronomique unique avant de se réinstaller sur les tables de jeu. Ils ont la possibilité de commander plus de 13 assiettes emblématiques du chef, notamment la délicieuse soupe d’artichaut et de truffe noire, la terrine de pieuvre ou le saumon iceberg. En bonus, une salle spéciale est destinée à la dégustation des caviars haut de gamme.

Côté jeux de hasard et tables de jeux, le Caesars Palace est rien moins qu’un mastodonte. On peut y jouer au casino jouer et nuit, sans interruption, et pour ce qui est des services, vous pourrez aussi flâner dans son espace de jeux ou même de boutiques, jusqu’à vous y perdre.

Alain Ducasse à l’hôtel-casino Morpheus

Pour ce qui est de gastronomie étoilée au casino, l’immense chef cuisinier Alain Ducasse (qui ne fait jamais rien comme tout le monde et c’est tant mieux) se distingue grâce à son restaurant implanté sur le territoire asiatique. Le marché très convoité de Macao a conquis ce génie des fourneaux et il a jeté son dévolu sur le site de l’incroyable hôtel Casino Morpheus pour poser ses couteaux de cuisine et son talent. Il a ainsi inauguré deux restaurants et un bar à l’issue d’un partenariat avec le propriétaire des lieux Melco Crown Entertainment.

Le chef Ducasse gère sa brigade culinaire dans un bâtiment extraordinaire puisque c’est l’architecte anglo-iranienne Zaha Hadid a créé ce chef-d’œuvre en exosquelette d’une main de maitre. Le design futuriste des infrastructures de Morpheus cadre totalement avec les exploits en cuisine d’Alain Ducasse. Il a beau ne cesser de les réitérer on ne s’y habitue pas. En posant sa toque, le chef a mis à la disposition des joueurs de ce casino de Macao sa recette culte : le soufflé au fromage. Bien entendu, cet artiste culinaire a également exporté la carte des vins les plus recherchés de France. A peine quelques années après son ouverture, cette maison est déjà gratifiée de deux étoiles Michelin.

Pour en dire un mot, Morpheus est plus qu’un simple hôtel casino. Il fait partie d’un énorme complexe de jeux de hasard de Macau nommé City of Dreams. Ce dernier dispose pas moins de 4 hôtels avec toute une variété de casinos de boutiques de luxe, de spectacles et de divertissements sur le mode des plus grands casinos de Las Vegas. En tout, ce monstre de l’industrie des jeux, affiche plus de 1500 machines à sous pour 450 tables de jeux traditionnels. Avec un tel complexe, ceux qui pensaient encore que les plus gros casinos n’étaient qu’à Vegas, vont devoir réviser leurs classiques. De notre côté, savoir que tous ces établissements prestigieux ont fait une grande place à la gastronomie française la plus élevée nous ravie de plaisir.

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